Le Père René-Luc utilise une parabole a la fin de ses interventions, « la parabole de la porte du coeur ». C’est un commentaire illustré d’un verset de l’Apocalypse 3, 21 :
« Voici, dit le seigneur, je me tiens à la porte et je frappe, celui qui entend ma voix et qui ouvre, j’entrerais chez lui. »
Le père René-Luc a fait peindre un tableau pour illustrer cette parabole. Jésus frappe a la porte d’une maison. Elle semble abandonnée, il y a du lière et des herbes hautes devant la porte. Pourtant, il y a de la lumière à l’intérieur, mais la porte reste fermée. Cette maison représente chacun d’entre nous. Il y a un trou de serrure sur la porte. Un décès dans ma famille : un tour de clé ! Une épreuve insurmontable : un tour de clé ! Combien de tours de clés y a -t-il entre Dieu et nous ?
Mais surtout, il n’y a pas de poignée sur la porte. Car la poignée est à l’intérieur. Dieu ne sait pas enfoncer la porte de notre coeur. Il frappe à la porte de notre coeur par un témoignage, une lecture, une rencontre. Toi seul peut lui ouvrir.